C'est si bon l'anal pour un homme

Catégories : Rencontres BDSM Gode ceinture strapon
il y a 4 ans

Une histoire érotique de sodomie au gode-ceinture mais pas que...

Dès le début de notre relation, ma femme a compris que j'aimais beaucoup lui offrir mon corps afin qu'elle en joue et le caresse. Mes seins étant très sensibles, elle prend beaucoup de plaisir, que je partage intensément, à les caresser, les lécher, les mordre et même les t o r t u r e r un peu. Il est un autre endroit, situé dans le bas du dos que j'ai eu plus de mal à intégrer dans son terrain de jeu. Malgré mes demandes, elle n'avait pas envie de laisser traîner ses mains entre mes fesses, elle trouvait ça pervers, déplacé et sale.

Quelquefois, quand elle me caressait le sexe, je commençais par ajouter ma main aux siennes puis la laissais glisser entre mes jambes jusqu'à poser un doigt sur mon anus pour lui prodiguer des caresses plus ou moins appuyées. Plusieurs fois ma femme m'a traité de cochon mais son regard sur ce doigt coquin et la plus grande vigueur dans les mouvements de ses mains sur mon sexe dressé montraient que ça lui plaisait un peu quand même.

Il y a quelques mois, alors que nous sommes couchés, elle me dit qu'elle voulait essayer quelque chose.

Elle fouille dans sa table de nuit et en sort une paire de gants en latex qu'elle enfile en me disant qu'avec ça elle pourra me toucher partout. Je lui demande si elle veut dire vraiment partout mais en guise de réponse elle s'installe entre mes jambes écartées, qu'elle relève.

Ses mains se posent sur mes seins et elle commence à triturer en douceur mes tétons m'arrachant vite quelques gémissements d'un plaisir augmenté par le contact nouveau du latex et l'attente de la réponse à ma question : partout ? Après quelques minutes de ce traitement alternant des caresses douces et des pincements elle laisse glisser ses mains vers mon sexe palpitant qui n'attend que ça. Saisissant mes testicules d'une main elle pose un doigt au bout de mon gland dont le méat a laissé échapper une goutte de ce liquide très clair qui monte dans la colonne virile quand elle est très excitée.

Etalant cette goutte sur la surface du gland elle le masse, le latex glissant sur la peau tendue et fine me provoquant des sensations pour le moins agréables et génératrices de gémissements. Puis saisissant ma hampe à pleine main elle se met à me masturber et enfin fait ce que j'attendais depuis si longtemps. Sa main lâchant mes couilles caresse mon entrejambe et un doigt s'insinue entre mes fesses jusqu'à toucher mon petit trou bien fermé.

Je ne peux m'empêcher de pousser un oui de plaisir en sentant ce doigt qui commence à tourner sur mon œillet. Pour lui donner plus d'aisance, posant mes mains sur mes fesses, je les écarte le plus possible et le doigt commence à pousser un peu sans réussir à se frayer un chemin.

Carine abandonne alors mon anus et me présente sa main devant ma bouche et me dit : " mouille bien si tu as vraiment envie que je te pénètre ". Je ne me le fais pas dire deux fois et dépose autant de salive que je peux sur sa main enveloppée de latex.

Aussitôt le liquide est déposé entre mes fesses et un doigt le positionne sur mon petit trou, puis ce doigt se fait entreprenant et se presse à l'entrée, qui s'ouvre comme si elle n'attendait que ça. C'est si bon que je pousse un râle qui surprend Carine qui retirant son doigt me demande :

  • je t'ai fait mal ?

  • non, au contraire, c'est trop bon. Recommence s'il te plait.

  • D'accord, c'est bizarre mais ça m'excite.

Et son doigt revient doucement f o r c e r mon anus qui l'avale sans difficulté. Carine qui jusque là était à genoux entre mes jambes, s'assied alors entre celles-ci, passant les siennes de chaque côté de mon bassin et me dit :

  • pose tes pieds sur mes épaules, tu seras plus ouvert et je verrai mieux ton petit trou se faire enculer.

Cette façon de parler inhabituelle chez elle me surprend et m'excite et je lui obéis pour me retrouver dans une position dans laquelle les objets de ses attentions sont complètement offerts.

Son doigt se met alors à aller et venir dans mon fourreau qui se serre autour, puis entame de lentes rotations. Le doigt sort et vient se poser sur mes lèvres que j'ouvre pour le sucer, je sens un goût âpre mais pas désagréable et un second doigt rejoint le premier. Quand la même chose se passe dans mon cul, je pousse un cri de plaisir et Carine pousse ses deux doigts le plus loin possible. Elle les sort tous les deux puis les pose ensemble sur mon trou et d'un coup sec les enfonce m'arrachant un nouveau cri. Elle murmure d'une voix excitée :

  • Tu aimes ça et ça rentre tout seul. Je vois ton petit trou, qui ne l'est plus vraiment, écarté par mes doigts. Maintenant je vais te limer pour te faire jouir.

Et sans attendre ses doigts commencent à aller et venir dans mon cul qui s'écarte pour mieux les avaler, je gémis de plaisir et ne tarde pas à crier quand le rythme s'accélère et que les coups de sa main sur mon entrejambe se font plus v i o l ents. Carine saisit alors ma bite et se met à la branler au rythme de ses pénétrations. Je suis dans un tel état qu'il ne me faut que quelques secondes pour lâcher un cri de jouissance en même temps qu'un long jet de sperme qui vient atterrir sur mon torse.

Lâchant aussitôt ma bite, mais sans cesser de limer mon anus qui commence à me brûler, elle récupère le résultat de la masturbation, et consciencieusement me l'introduit petit à petit dans l'anus avec ses doigts en disant :

  • comme ça tu as vraiment l'impression de t'être fait enculer, ton cul est dilaté et plein de foutre.

Je ne la reconnais plus, elle se lâche complètement et porte sur son visage un sourire qui montre bien combien elle a apprécié ce petit jeu, elle me dit :

  • c'était vraiment excitant de s'occuper de toi comme ça. Je ne te demande pas si tu as aimé, tu as dû réveiller tout le quartier.

  • Tu exagères mais je te remercie, tu m'as fait jouir d'une façon très différente. J'ai joui du sexe et du cul mais je crois que j'ai surtout aimé être ton jouet, totalement abandonné à tes fantaisies et dominé par toi.

  • Moi j'ai aimé te posséder et je crois qu'on recommencera mais pas tout de suite, j'aime trop quand c'est toi qui me fais l'amour.

Pour la remercier de cet aveu et du plaisir qu'elle m'a donné, je lui fais alors l'amour avec une grande tendresse et nous jouissons ensemble. Depuis ce jour, de temps en temps, Carine s'occupe de mon anus mais ce n'est pas une fin en soi, ça fait partie des caresses normales dans nos préliminaires.

Un jour, pensant améliorer ce jeu, j'achète dans un sex-shop un gode-ceinture et le soir au moment de se coucher, je le pose sous les draps à la place de Carine, me couche et attend qu'elle arrive. Elle entre dans la chambre et découvre son côté, voyant l'objet elle reste sans bouger, le fixe et me demande :

  • qu'est ce que c'est ? Que veux tu que je fasse de ça ? Ton sexe me suffit.

  • Tu ne comprends pas, il est muni d'une ceinture pour que tu puisses te transformer en homme et vraiment me prendre.

  • Non ! ça ne m'intéresse pas, enlève ça de là et cache le dans l'armoire.

Déçu et un peu vexé, j'obéis et n'insiste pas. Le gode finit par être oublié sous une pile de vêtements en bas de l'armoire. Jusqu'au jour où... M'étant brossé les dents, je rentre dans la chambre où Carine est déjà couchée sur le côté en train de lire. Je me déshabille, m'installe dans le lit et prends aussi un livre. Aussitôt Carine éteint sa lumière, je lui demande :

  • Tu veux déjà dormir ? Tu es fatiguée ?

  • Non, je veux que tu poses ton livre et que tu éteignes.

Je fais ce qu'elle me dit et me couche à côté d'elle. Aussitôt elle saisit ma main et la pose sur son ventre. Comprenant ce qu'elle veut, je lui caresse le ventre et remonte vers ses seins mais suis stoppé par un : " non ! en bas ".

Je fais alors descendre ma main vers son sexe puisque c'est ce qu'elle veut mais celle-ci butte sur quelque chose de dur . Je ne comprends pas et me mets à tâtonner, surpris, je ne veux pas croire ce que mes doigts découvrent dressé sur le pubis de ma femme :

  • qu'est-ce que c'est ?

  • Tu poses la question alors que c'est toi qui l'as acheté. Comme tu le voulais et si tu en as toujours envie, ce soir je suis ton homme et tu es mon petit chéri docile.

  • Oh oui ! Je veux être ton jouet, ta chose. Tu peux faire de moi ce que tu veux, mais il va falloir être douce, j'ai très envie mais ça me fait un peu peur.

  • Ne t'inquiète pas, je saurai te préparer et tu auras du plaisir.

  • J'ai envie de te voir, je peux allumer ?

  • Non, je ne suis pas prête pour ça mais comme moi je veux profiter du spectacle de mon homme se faisant sodomiser par un gros sexe, je vais allumer et te bander les yeux. Assieds toi et tourne-toi que je le fasse.

J'obéis, assis au bord du lit, je vois la lumière qui s'allume et un foulard vient masquer mes yeux, je suis dans le noir complet. Je sens Carine dans mon dos et ses mains se posant en bas de mon dos, remontent doucement, ses bras m'enlacent et ses doigts saisissent mes tétons. Cette caresse que j'aime tant me donne déjà du plaisir et mon sexe qui avait déjà commencé à gonfler atteint sa tension maximum. Carine, agenouillée derrière moi, penchée par-dessus mon épaule s'en rend compte et me dit :

  • Ta jolie petite queue peut se reposer, elle n'a pas besoin d'être si dure car elle ne va pas te servir aujourd'hui. Oublie que tu es un homme, pense que la jouissance viendra par tes seins et ton trou. Ce soir, l'homme c'est moi et tu es ma chose qui attend que je la possède.

  • Tu n'es pas une femme ça se voit et j'aurais du mal à l'imaginer en te voyant bander comme ça, tu es un homme qui va vivre sa première expérience homo, un pédé qui s'ignore et a très envie de se faire sodomiser à fond. C'est ça, hein ?

En posant cette question, elle accentue sa caresse sur mes seins qu'elle n'a pas cessé de tripoter et me pince fortement et à plusieurs reprises le tétons. Je gémis :

  • oui c'est ça, je veux sentir ta queue dans moi, je veux que tu me défonces l'anus à grands coups de bite, mais je suis puceau du cul alors, s'il te plait, commence doucement.

  • Ne t'inquiète pas, je t'ai déjà dit que je saurai y faire. Mais pour commencer, viens apprendre à connaître la queue qui va te dépuceler.

Je sens qu'elle se couche, je me tourne vers elle et assis en tailleur, je laisse sa main guider la mienne vers son sexe factice, agressivement dressé sur son pubis. Je le parcours du bout des doigts sur toute la longueur puis le saisis à pleine main et commence à le caresser.

Carine remarque :

  • c'est très excitant de te regarder faire ça, en plus tu le fais très bien. Il faut dire que tu as l'habitude de caresser ta queue et celle que j'ai aujourd'hui lui ressemble beaucoup : j'ai les deux devant les yeux et elles ont les mêmes dimensions. C'est juste ce qu'il faut pour bien remplir ton petit trou sans lui faire trop de mal, mais avant j'aimerais voir cette belle bite te remplir la bouche. Allez viens me sucer.

Sans me faire prier, je viens m'installer à quatre pattes entre ses jambes pour faire ce qu'elle demande. Je saisis la hampe dans une main et viens poser ma bouche au bout du gland, je donne quelques coups de langue, le contact est agréable, puis ouvrant la bouche, j'engloutis cette verge dure, j'ai vraiment l'impression de sucer une bite et ça me plaît. Je recule ma tête, cessant ma fellation et le dis à Carine :

  • ta queue est douce et elle me remplit bien la bouche, j'adore la sucer.

  • C'est bien mon chéri, continue, pompe-moi comme il faut, moi aussi j'aime beaucoup te regarder et voir tes lèvres engloutir cette belle bite. Vas y suce comme une belle salope qui aime la queue.

Ces mots m'excitent encore plus si c'est possible et je reprends en bouche le sexe viril de ma femme, ou plutôt de mon mec puisque c'est ce qu'elle veut être ce soir. Elle me prend la tête et m'entraîne dans des mouvements de va et vient, m'obligeant à avaler toujours un peu plus de longueur. Je ne suis pas en reste et je pompe sa queue avec vigueur en gémissant de plaisir, soudain elle me dit d'arrêter et de ne pas bouger.

Elle se retire et je manifeste ma déception qui disparaît quand je sens qu'elle se place derrière moi. Elle se colle à moi, qui suis toujours à quatre pattes, je sens sa bite qui passe entre mes jambes et se colle à la mienne, qui commence à être douloureuse à f o r c e d'être bandée.

Ses doigts saisissent le bout de mes seins et les agacent, alternant caresses et pincements, couchée sur mon dos, Carine me murmure à l'oreille :

  • maintenant, je vais te préparer à me recevoir au fond de ton petit cul et toi tu vas te détendre pour que ce soit plus facile. Pose ton buste sur le lit tu seras plus ouvert.

Je le fais et me sens terriblement vulnérable, les fesses en l'air, écartées et mon anus offert à ses regards et à bien d'autres choses. D'ailleurs, elle en profite :

  • tu sais que tu es bien impudique installé comme ça, tes fesses sont bien écartées et je vois bien ton petit trou, entièrement disponible pour moi. Quand je regarde ton cul et ma queue, je me demande comment elle va pouvoir rentrer. Il faut sûrement commencer par quelque chose de plus petit comme ce doigt qui vient de se poser dessus et essaie de rentrer. Je sens que tu te contractes, c'est le contraire qu'il faut faire. Attends, je vais t'aider.

Je la devine en train de fouiller dans la table de nuit, elle se replace derrière moi et je sens quelque chose de froid se poser sur mon anus. Aussitôt un doigt entreprenant se pose dessus et le masse doucement avant d'exercer une pression qui lui ouvre le chemin vers mon intérieur. Je gémis de plaisir et j'entends :

  • n'en fais pas trop, c'est rentré tellement facilement grâce au lubrifiant que tu dois à peine le sentir ce petit doigt qui te fouille. Je pense qu'avec un deuxième doigt ce sera mieux, tu les a accueillis dans ton petit trou déjà plusieurs fois et je suis sûre que quand tu te branles dans la douche tu te le fais tout seul. C'est pas vrai ?

  • Oui, ça m'est arrivé mais c'est tellement meilleur et plus excitant quand c'est toi qui me pénètre l'anus. Ca me rend fou.

  • Garde tes esprits et apprécie la dilatation de ton petit trou par ce deuxième doigt, tu sens comme il s'ouvre, tu aimes ça et tu en veux plus , je vais t'en enfoncer un autre,

Et je sens qu'elle f o r c e sans succès, les deux doigts enfoncés en moi se mettent alors à tourner et à s'écarter pour mieux me dilater.

  • Je veux que tu te détendes, si tu acceptes mon troisième doigt, après je t'enfonce ma grosse queue et je fouille ton ventre avec.

  • Oh oui, mets-moi tes doigts, je vais m'écarter au maximum.

Joignant le geste à la parole, je saisis mes fesses dans mes mains et les écarte. Je sens tout de suite le doigt qui revient à la charge et après une brève résistance, mon sphincter le laisse passer.

  • C'est bien mon petit chéri, tu as fait un effort, tu as bien mérité de te faire enculer par ma belle queue toute dure.

Elle retire ses doigts et je sens immédiatement son gland qui se pose sur mon trou qui n'a pas eu le temps de se refermer et commence à rentrer. Je pousse un cri qui peut être de douleur ou de joie et Carine me dit :

  • Tu auras peut-être un peu mal mais je ne veux pas que tu te plaignes, tu m'as dis que la douleur fait partie du plaisir dans une sodomie et je vais te donner un plaisir tout nouveau pour toi.

Ce disant, elle accentue sa pression, sans à-coup mais fermement elle f o r c e mon anus. Je pousse pour l'aider et je sens comme un craquement. Je pousse un cri et Carine s'exclame :

  • oh, c'est bien, le gland est rentré complètement et ton anus est tout serré autour, maintenant je vais t'enfoncer le reste.

Elle me saisit par la taille et je pousse un râle pendant que le corps de sa queue me pénètre petit à petit. Enfoncée dans moi, elle reste immobile me laissant gentiment m'habituer à cette grosse chose qui me remplit le rectum. J'ai l'impression que mon cul va exploser tellement la pression est forte. Carine m'interroge :

  • ça va ? Tu es bien avec ma grosse pine dans le cul ? Tu veux que je bouge ?

  • oui, je me sens vraiment possédé par toi. Tu me remplis complètement le cul et j'ai envie que tu me baises comme une chienne.

Sans attendre d'avantage, me tenant toujours par les hanches elle commence un lent mouvement de flux et reflux qui me donne un plaisir fou. Je gémis continuellement et pousse des oh et des han quand le bout de sa queue vient buter au fond de mon ventre. Soudain le mouvement s'arrête et son sexe sort de moi avec un bruit de succion. Je crie que j'en veux encore mais Carine me rassure :

  • ne t'inquiètes pas je vais revenir mais pas dans cette position. Je crois qu'elle n'est pas idéale, je ne réussis pas à tout te mettre et surtout je ne te vois pas jouir. Couches toi sur le dos et soulève ton bassin. Voilà avec ces oreillers tu es bien relevé, maintenant saisis tes jambes derrière les genoux et remonte les bien haut. C'est ça. J'ai une vue d'ici ! Ton petit trou entrouvert est un vrai appel au v i o l et ma grosse queue va se charger de lui donner ce plaisir. Elle est bien grosse et dure rien que pour toi, regarde.

Et disant cela, elle m'arrache le foulard qui m'empêchait de voir. Après un moment d'éblouissement, je découvre un spectacle qui m'excite tellement que je suis sur le point de jouir instantanément sans aucune action sur mon sexe, qui bat tout seul, dressé entre mes jambes écartées et dans ce triangle se tient ma femme, un air ravi et pervers sur le visage tenant à la main sa queue.

Je ne profite pas longtemps du spectacle car elle se penche vers moi, guidant sa pine d'une main et sans ménagement l'enfonce dans mon cul qui l'accepte sans trop résister. J'ai l'impression que ce sexe ne va jamais arrêter de s'enfoncer tellement il va loin en moi. Carine me prend alors les jambes et les pose sur ses épaules et me fait basculer en se penchant sur moi. Je hurle quand sa queue progresse encore plus profondément dans mon cul et que ses couilles viennent butter à l'entrée.

  • ça y est, tu as tout pris et je suis tout au fond de toi. Je t'encule aussi loin que possible, et maintenant je vais te faire hurler en te limant comme une bête mais comme je veux que tu puisses jouer un peu aussi, tu vas poser tes mains sur tes seins et les caresser. Ainsi tu jouiras aussi par là et surtout tu me montreras ce que tu veux : Si tu caresses doucement, je bouge doucement, si tu y mets les ongles, j'accélère et si tu pinces très fort, je te laboure le cul comme une brute.

Sans dire un mot, je pose mes mains à plat sur mes seins et les fais tourner doucement, Carine se met à bouger doucement en moi m'arrachant déjà des gémissements. Son mouvement prend de l'amplitude mais reste lent, quand mes index se posent sur mes tétons et se mettent à les triturer.

J'ai l'impression d'être totalement abandonné à son bon vouloir et de ne vivre que pour les sensations que je ressens entre mes reins. Je ne résiste pas longtemps au plaisir de saisir mes tétons entre le pouce et l'index et de les pincer, provoquant immédiatement une accélération des mouvements de la queue de Carine dans moi. Je commence à sentir une chaleur intense dans tout le bas de mon corps et pousse un cri à chaque coup de butoir.

J'ai au-dessus de moi le visage épanoui de ma femme qui me regarde comme si j'étais sa chose, visiblement ravie des sensations qu'elle a et du plaisir qu'elle fait naître en moi.

Excité, je me mets à pincer mes seins de plus en plus fort, les t o r t u r a n t comme je veux qu'elle m a l t r a i t e mon cul. Alors, sans préavis, elle tend les jambes et se met à me limer très fort, sortant presque totalement son membre de mon cul avant de l'enfoncer v i o l emment dans mon tréfonds ; chaque coup de ce gros piston qui me laboure me fait crier et au bout de quelques minutes de ce traitement je pousse un hurlement de jouissance et écarte spontanément les bras, je n'en peux plus.

Aussitôt Carine arrête de limer, elle se recule légèrement et tout en laissant son membre planté en moi, elle repose mes pieds sur le lit. Encore abruti par ma jouissance, je la vois défaire la ceinture qui retient le gode à sa taille. Celui-ci est toujours enfoncé dans mon cul, mais sans doute pas assez au goût de mon amante car alors que je croyais qu'elle allait le sortir, elle le pousse tout au fond. Je proteste :

  • je n'en peux plus ma chérie, retire moi ça et fais moi jouir comme un homme, ma queue va exploser.

  • N'aies pas peur, ça va venir. Je te rappelle que ce que tu appelles " ça ", tu l'appelais tout à l'heure ma " grosse queue " et qu'elle t'a donné beaucoup de plaisir. Tu veux jouir comme un homme alors que tu étais comme une femelle en chaleur qui ne pensait qu'à se faire enculer à fond. Alors, tu vas garder mon sexe masculin au fond de ton petit cul tout dilaté et mon sexe féminin va te faire éjaculer en s'empalant sur ta bite qui bave depuis si longtemps et n'a servi à rien.

Tout en parlant, elle s'est accroupie au dessus de mon sexe qu'elle saisit d'une main et dirige vers sa chatte que dès le premier contact je sens ruisselante. Avalée doucement par ce sexe doux et brûlant, ma bite se met à palpiter et malgré mes efforts, je ne réussis pas à retenir ma jouissance et je lâche de longs jets de sperme. Honteux je dis :

  • je suis désolé, j'étais beaucoup trop excité, je n'ai pas su t'attendre.

  • ce n'est pas grave tu ne t'en es pas aperçu mais j'ai vraiment joui quand je te sodomisais. C'était bien sûr le plaisir de te prendre mais, en plus, j'avais vraiment l'impression que le godemiché faisait partie de moi. Ca m'a tellement plu que je ne pense pas que ce bel instrument restera bien longtemps dans l'armoire .

Et effectivement, de temps en temps, les rôles s'inversent dans notre couple et je jouis sous les assauts virils de ma femme, qui se libère de plus en plus. Je ne sais pas où elle s'arrêtera...

Ce soir, quand j'entre dans la chambre, je comprends instantanément que je ne vais pas dormir tout de suite et que mon cul va encore être visité, quand je vois ma femme couchée sous le drap, avec au niveau du bas ventre une bosse caractéristique. Faisant l'innocent, je lui demande :

  • tu as envie de me faire l'amour ?

  • presque. En fait, je veux que tu dilates ton anus et que tu viennes te faire jouir tout seul en t'empalant sur ma queue. Mets toi à quatre pattes, prends du lubrifiant et montre moi comment tu te mets les doigts dans le cul.

Docile, je me place de telle façon qu'elle puisse bien voir mon cul. Je prends sur mes doigts une noix de crème lubrifiante et passant ma main entre mes jambes, je commence à m'occuper de mon anus. Doucement je le masse pour l'assouplir puis je m'enfonce un doigt, c'est agréable mais cette position ne me permet pas d'aller très loin. J'insiste cependant pour obéir à ma maîtresse et afin de pouvoir m'introduire son sexe sans douleur, je mets un deuxième doigt et travaille mon sphincter pour l'ouvrir. Carine me dit :

  • je pense que c'est bon, tu devrais pouvoir accepter ma queue maintenant, viens te l'enfiler bien profond.

Je me tourne vers elle, écarte le drap et suis toujours surpris en voyant cette bite sur son pubis. Reprenant du lubrifiant, j'en enduis copieusement ce sexe dressé et viens chevaucher ma chérie, le cul au-dessus de la colonne qui va le pénétrer. J'écarte mes fesses de mes mains et recule jusqu'à sentir le gland sur mon anus. Je continue le mouvement vers l'arrière lentement et avec la petite douleur habituelle, mon œillet s'écarte pour laisser passer le gland. Une fois celui-ci rentré, j'attends de m'être habitué à cette sensation et de ne plus sentir cette brûlure qui est associée à la pénétration anale. Puis quand cette sensation est remplacée par un début de plaisir je recule jusqu'à me sentir enculé à fond. Carine qui m'a regardé faire dit :

  • ça ne te pose plus de problème de t'enfiler ma queue, je me souviens de tes craintes la première fois. Maintenant, on voit bien que tu aimes ça. Mais quand tu as ce gode dans le cul est ce que tu imagines que c'est vraiment une bite ?

  • oui, je crois mais ce qui me plaît en fait c'est d'être possédé et dominé par toi, c'est un mélange complexe de plaisir, de honte et de culpabilité qui fait que c'est si bon.

  • Je comprends, mais il ne faut pas oublier le plaisir physique, bouge et fais chauffer ton petit trou en le limant bien fort.

J'obéis et me mets à faire aller et venir mon cul autour de ce gros membre qui le remplit. Tout de suite je sens des vagues de plaisir monter en moi et voulant l'accroître, je saisis ma bite d'une main et commence à me branler. Carine me tape sur la main et dit :

  • je t'interdis de toucher ton sexe. Ce soir tu n'es pas un homme, tu es mon objet sexuel et j'ai des projets pour la suite. D'ailleurs ça suffit pour ces préliminaires, libère ma queue et lève toi.

  • Qu'est-ce que tu veux faire ?

  • Tu verras bien et à partir de maintenant, quoi qu'il se passe, je ne veux plus que tu parles. Tout ce que tu as à faire c'est m'obéir sans poser de questions. Si tu n'es pas bien docile, je te jure que c'est la dernière fois qu'on joue avec le gode. Tu as bien compris ? tu es prêt à faire tout ce que je dis ?

  • Oui, c'est promis, je t'obéis et je ne dis plus un mot.

  • Je pense que des sons sortiront quand même de ta bouche parce que je suis sûre que tu vas tellement jouir que tu vas crier. Mais je t'autorise à extérioriser ton plaisir.

Intrigué et excité je la regarde se débarrasser du gode, ce qui me déçoit un peu mais je ne dis rien, j'ai promis. Elle passe derrière moi et vient me nouer un foulard sur les yeux, puis elle me prend la main et me dit :

  • suis moi.

Je me laisse guider et nous sortons de la chambre. Je devine que nous arrivons dans le salon et je foule le tapis quand elle me dit :

  • à genoux.

Je m'exécute et je sens ses jambes qui se collent dans mon dos et son bassin à l'arrière de ma tête. Ses mains viennent se poser sur mes seins et elle taquine mes tétons comme elle sait si bien le faire, cela suffit à faire remonter mon érection qui faiblissait. Puis ses mains remontent sur mes épaules, glissent le long de mes bras et saisissent mes mains. Elles sont attirée vers l'avant et rencontrent un obstacle. Je tâtonne pour savoir ce que c'est, je sens des poils et ce que j'identifie comme une bite en érection. Surpris j'ai un mouvement de recul et balbutie un :

  • mais qu'est ce que c'est ?

  • Silence, tu as promis et obéis moi. Reprends dans ta main cette belle queue qui est devant toi et qui est là pour te donner du plaisir.

Pas vraiment tenté, plutôt mal à l'aise je ne sais pas pourquoi j'obéis. Je tends la main et saisis timidement ce sexe inconnu. C'est chaud et très doux au toucher je laisse ma main serrée autour de cette hampe de chair qui palpite dans ma paume. Je suis affreusement gêné mais ça commence à m'exciter. Pourtant, je sens que mon sexe pend mollement entre mes jambes. Carine me dit :

  • on dirait que ça ne te plaît pas, ne reste pas comme ça, je veux que tu le caresses, mets-y les deux mains et montre moi que tu es toujours le gentil petit pédé que j'aime tant enculer.

Je ne résiste pas plus longtemps et me mets à caresser avec douceur cette queue qui me remplit la main, mon autre main a saisi ses couilles qui sont bien grosses. Gagné par l'excitation, je me surprends à branler consciencieusement la pine dressée d'un homme que je ne connais pas. Soudain, je le sens qui s'approche, visiblement attiré par les mains de Carine et je ne peux retenir un mouvement de recul quand je sens le contact de sa peau avec mon visage, mais le pubis collé dans ma nuque m'empêche de reculer très loin et la pine de mon inconnu s'appuie sur mon visage :

  • n'aie pas peur, goutte ce gros membre, je t'assure qu'il est propre et beau, c'est une vraie gourmandise. Je veux que tu le prennes en bouche et que tu le pompes comme une salope jusqu'à ce qu'il te jute dans la bouche et tu avaleras bien tout son foutre parce que je sais que tu vas aimer ça. Allez vas-y, suce le bien pour qu'il jouisse dans ta jolie bouche. Moi je vais m'asseoir dans ce fauteuil où je serai bien placée pour voir mon homme en train de sucer une grosse queue. Ca m'excite tellement que je crois que je vais me branler en te regardant.

Elle s'enlève de mon dos et je peux reculer ma tête pour pouvoir venir poser ma bouche sur le gland que j'imagine luisant et v i o l acé. J'ouvre les lèvres et donne quelques coups de langue timides, qui ne semblent pas suffire à mon mec car ses mains se posent sur mon crâne et me poussent à avaler sa queue qui f o r c e le passage. Etrangement, je ne ressens aucun dégoût, cette bite est douce sur ma langue et son goût est agréable. Mon plaisir se fait évident quand ma bite se met à gonfler, je ressens de l'excitation en sentant ce membre de chair qui remplit ma bouche. Pour mieux assurer ma fellation, je saisis la base du sexe dans une main et je me mets à le sucer doucement, ma langue jouant avec le gland si lisse, je fais des mouvements de va et vient, sortant presque entièrement l'engin de ma bouche avant de l'avaler de nouveau, le plus loin possible, jusqu'à sentir le gland bien dur au fond de ma gorge. Je lâche soudain la queue du mec, attr a p e ses fesses et je reviens coller sa bite sur mon visage, que je frotte dessus, respirant en même temps son odeur de mâle. Puis je fais courir ma langue sur toute sa longueur, commençant au bout du gland, où je trouve une goutte de liquide de prééjaculation que je lèche, son goût est fort mais c'est agréable.

Ensuite, après avoir taquiné le frein, je lèche la veine gonflée et me retrouvant le nez dans ses poils pubiens, je lèche les couilles, que je sens très grosses et velues. Je ne résiste pas au plaisir d'en gober une et de la sucer, pendant ce temps, l'une de mes mains tripote les fesses musclées et l'autre masturbe la queue qui semble encore avoir pris du volume. C'est le moment que choisit Carine pour parler :

  • on dirait vraiment que tu aimes ça. Tu t'occupes de cette bite comme si tu avais fait ça toute ta vie, et d'après ce que je vois, ton homme apprécie beaucoup. Je suis sûre qu'il te le dirait si il était autorisé à le faire, mais lui aussi il a promis de ne rien dire ; le seul avantage qu'il a sur toi c'est qu'il peut voir et je peux te dire qu'il n'en perd pas une miette. Moi non plus d'ailleurs et ça m'excite terriblement, je suis toute mouillée en te regardant tenir, branler et sucer cette belle bite qui attend avec impatience que tu la reprennes dans ta bouche afin qu'elle y crache son plaisir. Fais moi plaisir, suce le bien a fond, fais le jouir dans ta bouche et avale tout.

Obéissant, je lâche cette grosse couille que je suçais et reprends en bouche la queue qui attend devant moi. Je l'avale et la serrant bien entre mes lèvres, appuyant ma langue sous le gland je fais bouger ma tête d'avant en arrière. Rapidement, j'entends un gémissement au dessus de moi, une main me caresse les cheveux puis ma tête est prise entre deux mains. Tenant le mec par les hanches, je sens son bassin qui s'avance puis recule fourrant ma bouche avec cette grosse queue. Je suis en train de me faire baiser la bouche et le mouvement de cette pine prête à juter s'accélère jusqu'à ce qu'avec un cri de plaisir, mon mec me lâche sa purée au fond de la gorge, je suis surpris mais tellement heureux que j'attr a p e sa pine à la base et la branle pour faire sortir ce sperme amer qui coule en quantité.

Je poursuis ma succion quand mon éjaculateur lâche ma tête et se recule pour libérer sa queue qui me semble avoir moins de vigueur. Carine commente :

  • ça c'était une belle pipe. Tu as sucé ce mec comme il faut, je serais presque jalouse. Maintenant que tu as senti le bon goût du foutre dans ta bouche, il faut que tu sentes sa chaleur dans ton ventre. Lèves toi et viens.

Je la suis et elle me guide jusqu'à ce que mes cuisses buttent sur ce qui semble être notre table : une grosse table de ferme assez haute. Plaçant une main sur chacun de mes mollets, elle les écarte au maximum puis elle me pousse doucement mais fermement dans le dos. Je me retrouve couché à plat ventre sur la table les pieds posés par terre. Je devine que Carine monte sur la table et elle vient se mettre à califourchon sur mon dos, tournée vers mon arrière. Assise ainsi sur mon dos elle me bloque et me caresse les fesses avec douceur en disant :

  • placée comme ça, je vais avoir une place de choix pour assister à ta première et sans doute seule vraie sodomie. Profites en bien, apprécie toutes les sensations et écoute moi car je vais te raconter tout ce qui se passe. En ce moment, l'homme qui va t'enculer est derrière toi et te regarde avec envie. Je le comprends car ton cul ainsi totalement offert et très tentant. Il tient sa queue à la main et la caresse pour lui redonner toute sa vigueur. Je la vois qui gonfle progressivement, elle est vraiment grosse et belle avec un gros gland v i o l acé qui sera le plus dur à passer, mais ne t'inquiète pas, souviens toi que tu t'es préparé sur mon gode tout à l'heure. Ca y est, elle est de nouveau toute raide, il enfile un préservatif dessus et l'enduit de lubrifiant. Il s'approche et je lui ouvre tes fesses. Ne te contracte pas, ce n'est pas pour tout de suite, comme il ne veut pas te faire mal, il va te lubrifier aussi. Tu sens ce doigt, plus gros que les miens qui te pénètre, on dirait un petit sexe enfoncé dans ton cul. Voilà, c'est bien, avec deux doigts comme ça c'est comme trois des miens.

Et je sens en même temps ces doigts qui s'enfoncent dans moi, me fouillent et font des mouvements de rotation pour bien me dilater. Je suis à peine rassuré car quand j'avais la pine de mon mec dans la main et la bouche, j'ai eu la nette impression qu'elle était beaucoup plus grosse et longue que la mienne. Je n'ai jamais pris un tel engin dans mon cul, qui il n'y a pas si longtemps était encore vierge. Même le gode qui me fouille de temps en temps est plus petit que cette pine, car Carine se plaît à dire que sa pine à elle et la mienne ont l'air de jumelles. J'ai peur d'avoir mal mais j'ai aussi envie de prendre dans mon cul ce qui m'a si bien baisé la bouche tout à l'heure. Je suis entrain d'espérer et j'ai envie de demander qu'il m'encule maintenant quand je sens les doigts qui sortent de moi. Carine commente :

  • tu as senti ses doigts se retirer, ne sois pas déçu, ce qui va les remplacer est beaucoup mieux. Je vois entre tes fesses écartées par mes mains ton petit trou qui semble entr'ouvert et n'attend que de s'ouvrir à de plus grands plaisirs.

Ton homme s'approche de toi, il tient son gros sexe d'une main, pourtant raide comme ça il devrait tenir tout seul. Tu en as de la chance de profiter d'un beau morceau bien dur et épais comme ça. Il semble viser et guide son gland, agressif et fort, vers ton anus qui, en face de lui, paraît si fragile et étroit. Tu le sens qui se pose dessus. Ton homme t'attr a p e la taille pour mieux assurer la pénétration et je le vois qui commence à pousser sa pine dans toi.

J'ai en effet senti le contact sur mon anus et la poussée ferme qui suit. C'est dur mais j'en ai envie, je pousse pour aider et je ne peux m'empêcher de crier quand le gland f o r c e mon anus et entre dans moi provoquant une douleur vive mais supportable. La poussée s'arrête pour me laisser m'habituer . J'entends Carine :

  • ce gros gland est rentré dans toi et tu as à peine crié. Tu es vraiment fait pour la sodomie, soit tu as déjà pris des gros trucs comme ça dans le cul, soit tu es vraiment une salope qui est prête à tout supporter pour se faire enculer bien à fond par une grosse bite bien dure. Tu te cambres comme une chienne en chaleur qui veut se faire baiser bien fort. Ca vient mon petit chéri, je vois ce gros piston qui rentre doucement et qui t'écarte les chairs pour aller tout au fond de toi. Ton anus est tout tendu, il doit être sensible, tu sens mes ongles qui le caressent.

En même temps que la grosse queue de mon mec rentre, m'arrachant un gémissement de plaisir et de douleur mêlés, je sens comme une brûlure supplémentaire, Carine t o r t u r e pour me donner plus de plaisir mon anus qui enserre la hampe. Elle s'arrête quand les hanches de celui qui me possède jusque dans mon tréfonds viennent butter sur mes fesses.

Il est tout au fond de moi et me remplit comme je ne l'ai jamais été. C'est vraiment trop bon cette sensation d'être pris par un homme, que j'aime pour ce qu'il me fait. J'ai l'impression de lui appartenir et de ne vivre que pour sentir enfin sa queue bouger en moi. Ce qu'il commence à faire et j'accompagne ses mouvements de petits cris, qui font dire à ma femme toujours attentive à ce qui se passe :

  • c'est bon hein, tu ne croyais pas que tu aimerais autant ça. Je vois sa grosse bite qui rentre et sort, elle te baise, te lime et ça te fait du bien. Tu sens ses grosses couilles qui tapent contre les tiennes ? Si tu veux qu'il aille plus fort, cambre toi encore, voilà, je savais bien que tu étais un petit pédé lubrique. C'est fou comme tu aimes la queue, tu la savoures dans tous tes trous et même quand elle est grosse, tu veux te faire défoncer, attends on va arranger ça. Attends, sors ta queue de ce petit trou, il en veut plus et on va s'arranger pour qu'il ait ce qu'il demande.

Avec beaucoup de frustration, je sens que mon amant se retire. Pourtant même ce retrait est agréable car j'espère qu'il signifie une nouvelle pénétration, j'adore sentir mon trou s'écarter sous la poussée d'un beau sexe qu'il soit vrai ou faux. Carine se retire de mon dos et dit :

  • Chéri, couche toi sur le dos, les fesses au bord de la table et les jambes levées.

J'obéis et me retrouve dans cette position humiliante que ma femme semble beaucoup aimer me voir prendre, quand elle joue dans mon cul avec ses doigts, sa langue ou son gode, et qui laisse mon cul tellement ouvert que j'ai l'impression que je me donne complètement. Je sens que Carine revient au dessus de moi, elle est tournée vers mon cul mais je sens que cette fois, son entrejambe est au dessus de mon visage. Elle attr a p e mes chevilles, tire mes jambes vers elle et les écarte , elle interpelle mon mec :

  • regarde comme je te l'ai bien positionné, tu vas pouvoir fouiller bien profond ce cul que je t'offre. Je veux te voir le défoncer avec ta grosse queue, qu'elle s'enfonce le plus loin possible pour que j'entende crier mon mari, que je te prêtes. Prends ton plaisir en sodomisant très fort ce trou que tu dépucelles et fais gueuler de plaisir mon mari, qui saura aujourd'hui ce que c'est que de se faire enculer par un mec bien monté. Et toi mon amour, pour me remercier, je veux que tu me bouffes la chatte pendant qu'il te baise et si tu veux hurler, ne te gènes pas, vas-y.

Elle descend son bassin au dessus de mon visage et vient coller son sexe trempé de mouille sur ma bouche, je m'y plonge avec délice, et bois ce liquide que j'aime tant goûter car il signifie que ma femme a du plaisir. J'en ai moi aussi un immense quand je sens à nouveau le sexe du mec se poser sur mon anus et trouver lentement sa voie dans moi. Mon mec a saisi mes cuisses et pousse sa queue tout au fond, j'ai l'impression que son gland vient cogner ma vessie tellement il est profond dans mes entrailles. Ses lents aller-retours à l'intérieur de mon fourreau anal me font gémir de plaisir et quand son rythme s'accélère, je crois devenir fou.

Je n'en oublie pas pour autant de m'occuper de la chatte qui se frotte sur ma bouche et j'ai pris dans mes mains le fesses de ma femme qui pousse de petits cris alors que ma langue la fouille. En ayant assez de laisser mes mains inactives, j'ai saisi ses seins que je caresse avec vigueur car je ne contrôle plus tout, chaviré par les sensations que la bite de mon initiateur fait naître dans mon cul, mon ventre et tout mon corps.

Il s'est mis à me donner des coups de butoir de plus en plus forts et de plus en plus profonds. Mes jambes sont lâchées et viennent naturellement enserrer le cou de l'homme qui s'active en moi. Cela semble redoubler sa fougue et il accélère en tapant toujours aussi fort en moi. Mon cul n'est plus que brûlure, écartement, dilatation, plaisir, souffrance, jouissance, en résumé, je me fais sodomiser, j'ai une belle et grosse queue qui me défonce et j'aime ça à en hurler.

C'est ce que je fais au moment où je sens se serrer les mains qui tiennent mon bassin, et le sexe en moi qui paraît se contracter et grossir encore, et mon amant râle de plaisir en m'enculant toujours plus fort et plus vite. A ce même moment, je sens la main de ma femme qui saisit ma queue, inutile depuis un moment, alors que j'étais traité comme une femme, elle bande mou.

En quelques mouvements elle lui redonne une belle rigidité et me branle vigoureusement. Je la lèche et la mordille de plus belle, je lui pince les tétons et je sens soudain un coup de queue monstrueux dans mes entrailles. Le mec crie son plaisir, il éjacule en moi en limant toujours très fort mon cul qui accueille cette jouissance en se contractant sur la grosse pine qui jute en lui. Mon sexe savamment masturbé par ma femme se joint à celui de mon amant et laisse s'échapper mon sperme, alors que je crie moi aussi et bientôt, Carine ajoute ses cris de plaisir aux nôtres. Mon anus subit encore quelques aller-retour plus doux et apaisants de la queue qui l'a si bien fait jouir.

La main qui me branlait presse doucement mon sexe comme pour en extraire quelques dernières gouttes de sperme. J'embrasse à pleine bouche les lèvres verticales posées sur ma bouche.

Doucement, mon amant se retire, je lâche un " merci, mec, tu m'as donné beaucoup de plaisir " mais je n'ai pas de réponse. Carine s'enlève et se couche sur la table à côté de moi et m'embrasse.

Elle me retire mon bandeau et je lève tout de suite la tête pour voir l'homme qui vient de me posséder avec tant de vigueur, mais il n'est pas dans la pièce et j'entends couler la douche. Carine attr a p e une serviette et essuie le sperme que j'ai sur le ventre. Elle passe la serviette entre mes jambes, dans le sillon entre mes fesses et vient poser doucement un doigt très doux sur mon anus, très sensible à cette caresse, elle me demande :

  • Ca va, tu n'as pas mal à ton pauvre petit trou? Il n'avait jamais été pénétré par quelque chose d'aussi gros et vigoureux.

  • Non, je n'ai quasiment eu que du plaisir mais tu es folle d'avoir fait ça.

Distraitement, elle joue avec ma queue et répond :

  • j'avais envie de réaliser ton fantasme et l'idée de te prêter à un homme pour qu'il te prenne m'excitait aussi beaucoup. J'ai voulu que tu connaisses le plaisir d'être possédé et totalement soumis aux assauts d'un mec, tout en sachant que je t'observais. Alors si tu as pris du plaisir, et avec les cris que tu as poussé je suis sûre que oui, je suis heureuse. Oh ! j'ai mal nettoyé ton sperme, attends je vais arranger ça.

Et je la vois se pencher sur mon sexe à moitié mou et le prendre dans sa bouche. Je lui demande :

  • qu'est-ce que tu fais ?

  • Chut !

Répond elle en posant un doigt sur mes lèvres. Elle suce mon sexe doucement, son doigt posé sur mon anus le caresse avec beaucoup de légèreté et je suis aux anges. Très rapidement je bande à nouveau et ma femme relève son joli visage, regarde avec satisfaction le résultat de son travail et vient s'asseoir sur moi en s'empalant sur mon sexe.

Elle se met à onduler, se penche vers moi et je saisis ses seins approchant ma bouche pour en lécher le bout. J'entends claquer la porte de la maison. Mon amant est parti, je ne saurai jamais qui c'était, l'intermède homosexuel est fini, le cadeau de ma femme a été entièrement consommé, je retrouve le plaisir irremplaçable d'avoir mon sexe planté dans ma femme.

Elle paraît heureuse et épanouie, cette aventure lui a assurément beaucoup plu ; quelle évolution en quelques mois !

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